60 millions de dollars pour ça ? Ce « nanar cosmique » explose tout sur Netflix malgré la honte intersidérale

Guerrier en armure futuriste entouré d'énergie bleue.

Tu te demandes pourquoi un film salué par les tomates pourries de la critique explose actuellement tout sur Netflix ?
Je te promets, il y a du mystère, du rire nerveux et tellement de what the f*ck que même les fans les plus old school n’y comprennent plus rien.
Prépare ta télécommande et ton ironie mordante, car tu risques d’être surpris dès la première scène… ou pas ! Mais, c’est justement pour ça qu’on aime regarder l’incendie depuis le balcon !

Pourquoi tout le monde mate ce naufrage cosmique sur Netflix

Pourquoi tout le monde mate ce naufrage cosmique sur Netflix ? C’est simple : Les Chevaliers du Zodiaque, malgré une réputation proche du kebab périmé, semble posséder un charme incontrôlable. Serait-ce le charisme de Mackenyu, ou la nostalgie puissante du Saint Seiya original qui attire les foules ? Ce mix inexplicable entre rires nerveux et souvenirs d’enfance transforme ce désastre en soirée pop-corn incontournable.

Adaptation de manga culte : quand le cosmos ne suffit pas

Avec ses 60 millions de dollars de budget, l’adaptation cinématographique des Chevaliers du Zodiaque ne réussit qu’à éclabousser le cosmos par une claque narrative au saindoux. Entre les effets spéciaux qui auraient fait honte même à une production amateure des années 80 et des costumes tellement lamentables que même un cosplayer économe en larmes, le projet semblait voué à l’implosion dès le départ.

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À travers ce chaos visuel, Sean Bean et Famke Janssen tentent vainement de sauver les meubles, mais Seiya et ses frères d’armures s’avèrent être les vraies étoiles, malgré une trahison stylistique qui ferait grincer des dents n’importe quel fan de la première heure. Les initiés pourraient pleurer à la trahison, mais pour le spectateur occasionnel, le film devient un joyeux terrain de jeu pour spotter les aberrations scénaristiques une à une.

Si tu as le cœur bien accroché et un amour pour les désastres cinématographiques, ce spectacle d’incohérences pourrait juste devenir ta nouvelle soirée film culte. Enfile donc ton armure de patience et prépare-toi à une overdose de kitsch interstellaire!

Paradoxe du nanar : pourquoi il faut quand même cliquer (au moins une fois)

Ah, la joyeuse contradiction des nanars ! Netflix, avec son flair inimitable, transforme ce qui devrait être un fiasco retentissant en véritable trésor pour les chasseurs de perles rares. Tu sais, ce genre de film où chaque effet spécial raté te tire une grimace qui vaut de l’or. Mais soyons francs, c’est aussi une merveilleuse piqûre de rappel sur le véritable charme brut de l’œuvre originale de Masami Kurumada.

Ce film, c’est comme une fenêtre en carton-pâte ouverte sur un monde enchanteur, donnant aux novices un avant-goût des vrais affrontements épiques du manga, tandis que les fans de la première heure peuvent y voir un exutoire à leur amour contrarié. Que tu sois nouveau venu ou vétéran endurci, la satisfaction de râler « ah, ils ont tout faux ! » est pratiquement garantie. Alors, on se lance, pour le plaisir coupable de critiquer en terre connue ?

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En résumé : Ce « naufrage cosmique » des Chevaliers du Zodiaque réussit l’exploit d’être à la fois désopilant et furieusement nostalgique, malgré ses costumes dignes d’un vide-grenier galactique. Bien sûr, puristes ou allergiques au second degré risquent l’urticaire, mais franchement… qui n’a jamais eu envie de râler devant un bon nanar ? Allez, mate, on en reparle après !

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