La comédie Netflix que vous ne devez pas rater : Rowan Atkinson en duel burlesque contre un bébé, à voir en famille
Trois ans après avoir affronté un insecte déchaîné dans Seul face à l’abeille, Rowan Atkinson revient sur Netflix avec une nouvelle mini-série qui promet autant de rires que de catastrophes.
Intitulée Seul face au bébé (Man vs. Baby), cette création britannique en quatre épisodes sera disponible le 11 décembre 2025. Elle marque le retour des mésaventures de Trevor Bingley, un homme ordinaire au talent extraordinaire pour s’attirer des ennuis, désormais opposé à un adversaire beaucoup plus imprévisible que la nature elle-même : un nourrisson.
À travers cette nouvelle comédie, Atkinson retrouve son terrain de jeu favori, celui du chaos visuel, du slapstick millimétré et de la maladresse assumée.
Quand l’esprit de Mr. Bean affronte la parentalité improvisée
Toujours incarné par Rowan Atkinson, Trevor Bingley pensait avoir laissé derrière lui les déboires technologiques après son affrontement contre une abeille dans une villa ultra-connectée. Avec un travail tranquille de gardien d’école, il espérait même retrouver une forme de paix bien méritée.
Pourtant, le destin s’amuse une nouvelle fois à le plonger dans un tourbillon d’événements incontrôlables. Lorsqu’un bébé Jésus miniature est oublié à la fin d’une crèche de Noël, Trevor se voit contraint de s’en occuper, seul, dans un penthouse londonien luxueux. Ce qui devait être un moment de calme se transforme rapidement en chaos domestique.
Entre couches explosives, berceuses improvisées, pleurs nocturnes et gadgets high-tech qui s’emballent, Trevor renoue malgré lui avec un univers où le rire naît de la panique et de l’absurdité, à mi-chemin entre l’héritage de Mr. Bean et les situations modernes les plus farfelues.
Une continuité assumée avec Seul face à l’abeille
Derrière cette suite spirituelle, on retrouve la même équipe créative que celle du premier opus. Rowan Atkinson et William Davies s’occupent une nouvelle fois de la création et du scénario, tandis que David Kerr reprend la réalisation.
À la production exécutive, Chris Clark poursuit l’aventure pour HouseSitter Productions, épaulé par Kate Fasulo. Ensemble, ils signent une série qui prolonge l’exploration du comique visuel britannique, inspiré du slapstick et porté par la précision des gestes, le minimalisme des dialogues et la puissance de l’humour universel.
Avec ses épisodes courts d’une trentaine de minutes, Seul face au bébé s’inscrit dans la continuité esthétique et narrative de Seul face à l’abeille, et offre à Rowan Atkinson un nouveau terrain où exprimer son talent pour les catastrophes contrôlées.
