Dethklok revient d’entre les morts : Adult Swim ressuscite enfin le Metalocalypse

Tu pensais que c’était fini ? Que le film Metalocalypse: Army of The Doomstar avait sonné le glas pour tes métalleux animés préférés ? Grosse erreur. Contre toute attente, Adult Swim a décidé d’exhumer le corps de Dethklok, et crois-moi, il est encore bouillant. Prépare-toi, le retour le plus brutal de l’animation est pour bientôt.

Une résurrection, une tournée, et du sang neuf

Après des années de silence radio et une annulation qui avait laissé un goût amer, la nouvelle est tombée : Dethklok revient faire trembler nos écrans. Mais ce n’est pas tout. Le groupe fictif le plus culte de l’histoire repart sur les routes pour une tournée nord-américaine en 2026, la « Amonklok Conquest Tour ». Et pour marquer le coup, ils ne seront pas seuls : les légendaires Suédois d’Amon Amarth partageront la scène. Un line-up si parfait que ça en devient presque une anomalie dans le continuum espace-temps.

Une saga qui refuse de crever

Pour les plus jeunes, petit rappel : Metalocalypse, lancée en 2006, nous a plongés dans le quotidien absurde et ultra-violent du plus grand groupe de metal du monde. Nathan Explosion, Skwisgaar Skwigelf, Toki Wartooth, William Murderface et Pickles ont marqué toute une génération avant que Cartoon Network ne débranche la prise en 2013, de manière aussi subtile qu’un parpaing dans une vitrine. Malgré un épisode spécial et un long-métrage qui semblait conclure leur histoire, le créateur, Brendon Small, n’a visiblement pas pu se résoudre à abandonner ses créatures. Et franchement, on le remercie.

Brendon Small, ce héros

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, 2026 verra aussi le grand retour de Home Movies, l’autre pépite animée de Brendon Small. Bien loin du vacarme de Dethklok, cette série suivait les délires d’un groupe d’enfants réalisateurs de films amateurs. C’est d’ailleurs là qu’on a découvert la voix inimitable de H. Jon Benjamin, futur Archer et Bob Belcher. Le retour de ces deux licences cultes le prouve : les classiques ne meurent jamais vraiment, ils attendent juste leur heure pour revenir tout défoncer.