Personne ne l’a vu venir : comment un film biblique a mis une claque à Disney et Avatar

Tu pensais que le box-office de décembre était plié d’avance ? Que le match se jouerait uniquement entre les créatures bleues de James Cameron et les bestioles anthropomorphes de Disney ? Détrompe-toi. Un challenger, sorti de nulle part, est venu jouer les trouble-fêtes avec une simple fronde et beaucoup d’audace. Son nom : David.

Un caillou divin dans la machine hollywoodienne

Alors que les mastodontes Avatar: Fire and Ash et Zootopia 2 se préparaient à tout dévorer, ce film d’animation produit par Angel Studios a tranquillement ramassé 22 millions de dollars pour son week-end d’ouverture. Un score qui le place juste derrière un certain Sing 2, devenant l’un des meilleurs démarrages animés pour un mois de décembre. Pas mal pour un film qui n’est ni une suite, ni un reboot, ni une énième adaptation de comics.

Le plus fou dans cette histoire, c’est de voir ce récit biblique, que tout le monde connaît, tenir la dragée haute à des franchises pesant des milliards. C’est un peu comme si un joueur niveau 1, armé d’un lance-pierre, réussissait un critique sur le boss de fin de raid. Le film David a rappelé à tout le monde qu’une bonne histoire, même ancienne de quelques milliers d’années, peut encore captiver les foules.

Mais alors, ça vaut quoi concrètement ? Loin d’être un cours de catéchisme animé, le film propose apparemment une narration vraiment prenante et un style d’animation qui mérite qu’on s’y attarde. Pour nous, geeks et cinéphiles, c’est une curiosité qui pourrait bien se transformer en excellente surprise. Une preuve que même en 2025, on peut encore être surpris au cinéma.

Ce succès inattendu nous rappelle une chose essentielle : il n’y a pas que les grosses licences dans la vie. Parfois, un outsider avec une bonne histoire peut créer la surprise et mettre tout le monde d’accord. Alors, si tu es en quête d’une histoire bien ficelée et d’une animation qui sort des sentiers battus, tu sais ce qu’il te reste à faire. Comme quoi, il ne faut jamais sous-estimer un bon jet de pierre. Surtout quand il est bien animé.