Sandman est de retour sur Netflix : que vaut cette saison 2 très attendue ?

Homme sombre avec corbeau dans cathédrale gothique lumineuse.

As-tu déjà eu l’impression que plus tu avances, plus la frontière entre le fantastique et la réalité se brouille ?
Ça tombe bien, j’ai mis la main sur une pépite qui sublime l’imaginaire et chamboule les certitudes.

Entre rebondissements imprévus et visuels à tomber à la renverse (gare à la chaise), ce contenu promet des montagnes russes pour les yeux et les neurones.
Prêt pour une expérience dont tu risques de reparler longtemps ?

Une intrigue centrée sur le poids du passé et la quête de rédemption

La saison 2 s’ouvre après une réunion fatale de la famille des Infinis. Rêve, alias Morphée, se retrouve confronté à une série de décisions impossibles pour tenter de sauver à la fois son royaume, le Monde éveillé et lui-même. Les erreurs qu’il a commises autrefois reviennent le hanter, l’obligeant à faire face à d’anciens alliés comme à de redoutables ennemis.

Pour espérer se racheter, le Marchand de Sable doit traverser un chemin semé d’embûches, peuplé de dieux, de monstres et de mortels. Mais dans cet univers où chaque action a un prix, le pardon n’est jamais gratuit. La série explore avec finesse l’idée que la véritable absolution pourrait coûter bien plus que ce que Rêve est prêt à perdre.

Un casting magistral au service d’une mythologie grandissante

Déjà impressionnant en saison 1, Tom Sturridge confirme ici qu’il est l’incarnation idéale de Rêve. Sa voix grave, sa posture rigide et son regard habité traduisent parfaitement la mélancolie et les regrets de ce personnage éternel. Fascinant et parfois inquiétant, Morphée reste au cœur émotionnel de la série.

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Mais il serait injuste de ne pas saluer le reste du casting. Gwendoline Christie est une nouvelle fois saisissante en Lucifer, tandis que Kirby Howell-Baptiste offre une Mort profondément émouvante. L’arrivée de deux nouveaux Infinis, Destruction et Delirium, incarnés par Barry Sloane et Esmé Creed-Miles, apporte une dynamique supplémentaire à cette famille aussi puissante que dysfonctionnelle. Ces relations complexes permettent d’explorer les failles de Rêve, notamment son incapacité à gérer ses liens affectifs malgré ses pouvoirs colossaux.

Une mise en scène somptueuse pour une fin poétique et tragique

Si la première saison brillait déjà par sa direction artistique, la saison 2 va encore plus loin. Les décors fantasmagoriques gagnent en ampleur, les costumes sont plus épiques que jamais et chaque épisode regorge de scènes visuellement marquantes, oscillant entre poésie et tragédie.

Cette ambition esthétique sert parfaitement le propos de la série, renforçant le sentiment de fatalité qui accompagne le parcours de Rêve. Pour rappel, le volume 1 de cette saison finale est disponible depuis le 3 juillet 2025, le volume 2 depuis le 24 juillet, et Sandman s’achève définitivement avec un épisode spécial diffusé le 31 juillet. Une conclusion majestueuse, à l’image de la légende qu’elle referme.

Sandman, c’est du rêve en barre : visuels hypnotiques, casting en or et narration qui t’embarque sans jamais te larguer en route. Seul petit bémol ? On en redemande avant même la fin du festin.

Prêt pour une nouvelle plongée onirique, ou tu restes coincé au pays des songes ?

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