Animal Control : La comédie d’espionnage avec Joel McHale débarque en douce sur Netflix
Tu pensais avoir fait le tour du catalogue après les fêtes ? Détrompe-toi. Netflix a décidé de jouer les Pères Noël post-Nouvel An en ajoutant discrètement une pépite que personne n’avait vue venir. La série comique Animal Control, avec l’incontournable Joel McHale, vient de débarquer avec ses deux premières saisons, et ça sent bon le binge-watching de qualité.
Mi-espion, mi-loser, 100% barré
Imagine un univers où des agents de contrôle des animaux se prennent un peu trop pour des espions. C’est le pitch déjanté d’Animal Control. Oublie les gadgets high-tech et les smokings impeccables, ici on est plus sur de la capture de raton-laveur en mode mission secrète. La série, tournée en single-camera (le format de The Office, pour les connaisseurs), promet un humour décalé et des situations absurdes.
Et qui de mieux pour porter ce chaos organisé que Joel McHale ? Oui, le Jeff Winger de Community lui-même. On sait que le monsieur a un talent certain pour le sarcasme et les répliques qui tuent. Le voir à la tête d’une équipe de bras cassés chargés de la faune urbaine, c’est la promesse d’un divertissement efficace et sans prise de tête.
Débarquée comme par magie le 26 décembre sur la plateforme, la série arrive avec ses deux premières saisons d’un coup. De quoi s’enfiler une bonne dose d’épisodes pour se faire un avis. Et cerise sur le gâteau, une troisième saison est déjà dans les tuyaux, signe que la qualité est au rendez-vous et que tu ne t’attaches pas à des personnages pour rien.
Si tu es en quête d’une comédie fraîche, originale et portée par un casting solide, tu tiens probablement ta prochaine obsession. C’est le genre de série parfaite pour décompresser, avec juste ce qu’il faut d’action et une bonne grosse louche d’humour. Alors, prépare le canapé, les deux premières saisons d’Animal Control n’attendent plus que toi.
J’suis curieux de voir le côté ‘mi-espion, mi-loser’. Le format single-camera ça m’intrigue, ça change des sitcoms classiques.