Record historique pour Demon Slayer : ce film d’animation bouleverse les classements mondiaux

Personnage d'anime avec une expression surprise.

Tu t’es déjà demandé quel événement peut réunir un otaku, ta voisine et ton boss dans la même salle, sans provoquer de bug dans la matrice ? Prépare-toi à découvrir le phénomène qui casse la baraque partout.

Ici, oublie le popcorn classique : on va parler de chiffres fous, d’exploits inattendus et de ce que tout le monde s’arrache, même ton pote qui trouve que « les animés, c’est pour les gamins ».

Accroche-toi, ce qui t’attend pourrait bien te donner envie de revoir tes priorités série !

Un succès intercontinental inédit

Au pays du Soleil-Levant, l’animation fait partie de l’ADN culturel, mais cette fois, c’est bien au-delà de ses frontières que Demon Slayer fait parler de lui. Le nouvel opus, “La Forteresse infinie”, vient d’entrer dans l’histoire en devenant le film japonais le plus rentable de tous les temps. Lundi 17 novembre, ses distributeurs Aniplex et Toho ont confirmé que le film avait dépassé la barre impressionnante des 100 milliards de yens, soit 556 millions d’euros, au box-office mondial.

Sorti au Japon en juillet, puis en Amérique du Nord en septembre avant de conquérir la Chine ce vendredi, le film attire les foules partout où il passe. Près de 89,17 millions de spectateurs hors Japon se sont déjà déplacés pour suivre les nouvelles aventures des héros imaginés par Koyoharu Gotouge. Une performance spectaculaire, mais surtout un indicateur fort de l’influence grandissante de l’animation japonaise à l’international.

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Une histoire fidèle au manga et un univers qui fascine

Adapté du manga publié entre 2016 et 2020 dans le célèbre Weekly Shonen Jump, “La Forteresse infinie” poursuit le voyage initiatique de Tanjiro Kamado, l’adolescent devenu pourfendeur de démons. Aux côtés de ses compagnons, il tente de sauver un monde menacé par des créatures impitoyables. Cette fidélité à l’œuvre originale, alliée à une mise en scène spectaculaire, explique en grande partie l’engouement du public.

Au Japon, le film se hisse déjà dans le top des meilleures recettes, même s’il reste en deuxième position derrière l’autre géant de la franchise : “Le train de l’infini”, immense succès lors de la pandémie de Covid-19. Ce précédent opus avait d’ailleurs détrôné le mythique Voyage de Chihiro (Studio Ghibli, 2001), jusque-là intouchable dans le cœur et le porte-monnaie des spectateurs. La saga Demon Slayer impose donc un rythme effréné et confirme une tendance : l’animation japonaise continue de dominer le box-office national avec une puissance rarement observée, seuls Titanic et le premier Harry Potter faisant figure d’exception au sommet du classement.

Une franchise qui redéfinit les codes de l’animation

Demon Slayer ne se contente pas de remplir les salles : la franchise est régulièrement saluée pour sa capacité à réinventer les codes artistiques du genre. Ses effets spéciaux fluides, ses couleurs éclatantes et son animation millimétrée séduisent autant les amateurs que les critiques. Pour autant, l’œuvre ne s’éloigne jamais de ce qui fait battre le cœur du shonen : l’amitié, la persévérance, l’empathie et ces liens qui unissent les héros face à des menaces insurmontables.

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Avec des séries animées et des films qui s’enchaînent, la saga s’impose comme l’un des titres les plus influents de sa génération. Et ce n’est pas fini : un troisième long-métrage est déjà annoncé pour conclure l’histoire, promettant de nouveaux sommets tant narratifs que commerciaux.

En bref, si t’as soif de combats stylés et de récits à faire chialer Hulk, reste dans les parages!

En résumé : Demon Slayer explose tout avec sa Forteresse infinie, séduisant même les non-initiés grâce à ses émotions intenses et ses combats époustouflants. Ça cartonne, mais difficile de ne pas sentir la pression autour du prochain volet !
Allez, fais chauffer ton katana (ou ton pop-corn), l’aventure ne fait que commencer !

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