« Je n’ai jamais eu autant peur dans un jeu » : Dying Light The Beast glace le sang de milliers de joueurs
Et si je te disais que l’apocalypse n’a jamais été aussi alléchante ? Dying Light The Beast réserve son lot d’adrénaline pour qui aime transformer la survie en art du spectacle, voire en show télévisé pour sociopathes passionnés de parkour.
Prépare-toi à traverser des décors grandioses, croiser des bad guys tout droits sortis d’une mauvaise série Z, et à jongler entre fureur et fous rires.
La suite promet autant de sueurs froides que de facepalms, alors t’es prêt à dégommer du cliché ?
Kyle Crane, la vengeance dans la peau (et un peu de virus aussi)
Kyle Crane est de retour dans Dying Light The Beast, armé d’une rage vengeresse qui rendrait jaloux un personnage de Shakespeare. Après treize ans à mariner dans un labo aussi jovial que la crypte des Médicis, notre héros semble revenu tout droit d’un cauchemar éveillé, prêt à distribuer des châtaignes à qui veut bien se présenter. Entre les créatures grotesques et un Baron qui, pour être franc, a l’air d’être sorti d’un casting refusé pour une mauvaise telenovela, le tableau est complet. Et pour ceux qui aiment la petite touche sentimentale, attendez-vous à de la vengeance en barre, les quêtes secondaires proposant leur lot de récits susceptibles de te faire frissonner ou rager.
Avantage : une immersion totale avec une version française percutante.
Attention : un scénario parfois aussi prévisible que la fin d’un film de zombies.
Castor Woods, paradis alpin pour survivalistes sous stéroïdes
Bienvenue à Castor Woods, ce parfait paradis alpin pour tous les maniaques de la survie en version post-apocalyptique. Ce n’est pas la Suisse, mais imagine un endroit où escalader des chalets et explorer des marécages se fait au rythme des bastons avec des zombies plus teigneux que les guichetiers un lundi matin. Et pour couronner le tout, il y a ces panoramas à couper le souffle, un régal pour les yeux qui ferait baver d’envie même un développeur chez Ubisoft.
Tu découvriras les secrets de ce monde ouvert, aussi soigné qu’un cosplay de Geralt, à ton propre rythme. Entre une descente en parkour et un face à face musclé, l’exploration de Castor Woods est une promesse d’aventure organique, même si parfois, le jeu te prend un peu trop par la main, tel une mamie inquiète au bord d’un passage piéton.
Plonge plus profondément dans cette épopée sauvage, où chaque recoin peut t’offrir une nouvelle surprise – ou un nouveau danger. Découvre par toi-même la richesse de Castor Woods.
Parkour, castagne et nuits qui puent la mort : le bestiaire en folie
Dans l’univers impitoyable de The Beast, le parkour et le combat se révèlent être tes meilleures cartes face à un bestiaire qui a autant d’appétit qu’une bande d’adolescents après un marathon gaming. Les démembrements spectaculaires et les évasions aériennes te font vivre l’adrénaline pure, tel un cascadeur avec un flingue dans chaque main. Les ruelles obscures et les toits de Castor Woods deviennent des arènes où la gravité semble être en grève et les zombies en surpopulation.
Associé à des combats viscéraux où chaque coup est un ballet macabre de fluidité et de brutalité, le jeu te propose une expérience coopérative sans pitié. Malheureusement, la lenteur des shootouts et une intelligence artificielle qui pourrait gagner le prix de l’absurde en IA, ajoutent une couche d’irrationnel à l’ambiance déjà démente. Mais n’oublie pas, chaque nuit survécue est une victoire.
Prêt à relever le défi ? Chausse tes baskets de l’apocalypse et laisse-toi emporter par la nuit odieuse de The Beast – survivre n’a jamais été aussi entraînant.
En clair, The Beast t’offre une virée furieuse entre vengeance, parkour de l’enfer et bastons épiques dans des décors à te décrocher la mâchoire, mais attention, côté scénario ultra-sorcier, on repassera !
Alors, prêt à plonger tête la première dans le chaos chromé de Castor Woods ? On parie que t’en redemandes déjà.