Frankenstein de Guillermo del Toro sur Netflix : un raz-de-marée visuel numéro un dans 81 pays, mais une ambiance gothique qui peut surprendre

T’as déjà eu cette sensation de découvrir quelque chose d’incroyable avant tout le monde ? Netflix sait comment piquer notre curiosité.

En ce moment, un film fait tourner toutes les têtes et chamboule les habitudes de la plateforme rouge. Du visuel qui claque, des surprises à la pelle… on est loin du petit téléfilm du dimanche !

Accroche-toi, la suite va te donner envie de vider ton popcorn avant la scène d’ouverture.

Un succès planétaire dès les premières 24 heures

C’est ce qu’on appelle un lancement monstrueux. En seulement 24 heures après sa sortie le 7 novembre, Frankenstein, la nouvelle adaptation signée Guillermo Del Toro, s’est hissée en tête du classement mondial des contenus les plus regardés sur Netflix. Acclamé par la critique comme un « chef-d’œuvre annoncé », le film a surpassé le thriller à grand spectacle A House of Dynamite de Kathryn Bigelow pour s’imposer en numéro un dans 81 pays, dont la France, les États-Unis, l’Allemagne, le Royaume-Uni et le Brésil, selon le site spécialisé Flixpatrol.

Ce succès immédiat s’explique par la qualité exceptionnelle de l’adaptation du roman culte de Mary Shelley (1818), ainsi que par la campagne promotionnelle massive orchestrée par Netflix, qui en avait fait l’un de ses projets les plus attendus de la fin d’année.

Un budget colossal pour un rêve de cinéma

Avec un budget de 120 millions de dollars, Frankenstein représente un pari ambitieux que Netflix semble avoir déjà gagné. Ce projet colossal a permis à Guillermo Del Toro, réalisateur oscarisé pour La Forme de l’eau, de réaliser un rêve de longue date : revisiter le mythe du monstre le plus célèbre de la littérature.

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Le film se distingue par sa structure en deux actes : la première partie plonge dans l’esprit d’un scientifique obsédé par la mort de sa mère et prêt à tout pour créer une créature vengeresse ; la seconde s’attarde sur le monstre lui-même, à la fois émouvant et profondément humain, incarné par un Jacob Elordi impressionnant de justesse.

La mise en scène, d’une esthétique gothique somptueuse, mêle effets spéciaux à l’ancienne et direction artistique minutieuse, rendant hommage à l’œuvre originale tout en lui insufflant une dimension poétique et tragique propre à Del Toro.

Une consécration critique et un avenir prometteur

Les premières critiques sont unanimes : Guillermo Del Toro signe ici un chef-d’œuvre visuel et narratif. Le Parisien parle d’une production « magnifique, servie par des artifices et effets spéciaux à l’ancienne », tandis que Le Monde salue un film « inspiré » et « bouleversant ».

Cette réception enthousiaste confirme que le réalisateur mexicain a atteint un aboutissement artistique, fruit d’années de passion pour le cinéma fantastique et de sa fascination pour les monstres, symboles de l’humanité cachée.
Tout porte à croire que Frankenstein régnera longtemps au sommet du Top 10 Netflix, cumulant records de visionnage et distinctions critiques. Pour Del Toro, c’est plus qu’un succès commercial : c’est la renaissance d’un mythe, sublimée par la magie du cinéma.

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