Frankenstein par Del Toro : Le casting monstrueux se confirme, on vous avait prévenus
Tu te souviens ? Il y a un an, on te glissait entre deux vannes que le maestro de l’étrange, Guillermo Del Toro, préparait son propre Frankenstein. Eh bien, accroche-toi à ton fauteuil, parce que le projet n’est plus une simple rumeur de couloir mais une créature qui prend vie. Et le casting qui vient de tomber est une assemblée de talents absolument monstrueuse.
On savait déjà que le grand Guillermo avait un faible pour les créatures torturées. Après tout, le bonhomme a redonné ses lettres de noblesse au cinéma de monstres avec des pépites comme Le Labyrinthe de Pan ou The Shape of Water. Pour son adaptation du roman culte de Mary Shelley, il ne fait pas les choses à moitié. Aux dernières nouvelles, le casting 5 étoiles se confirme et ça envoie du rêve (ou plutôt du cauchemar, mais du bon).
Un casting assemblé à la perfection
Dans le rôle du Dr Victor Frankenstein, celui qui joue un peu trop avec le feu et la foudre, on retrouvera le charismatique Oscar Isaac. Un choix juste parfait pour incarner ce savant fou dépassé par sa création. Pour donner vie à la Créature, c’est Jacob Elordi qui prêtera sa carcasse. Un choix audacieux et intrigant pour un monstre qui, on l’espère, sera plus tragique que terrifiant. Enfin, la fascinante Mia Goth, nouvelle icône de l’horreur, se glissera dans la peau de la Fiancée du monstre. Rien qu’avec ce trio, on sait déjà qu’on va explorer des abîmes de noirceur et d’humanité.
Plus qu’un film d’horreur, une vision d’auteur
Ne t’attends pas à un simple film de frousse avec des jump scares toutes les deux minutes. Quand Del Toro s’empare d’un monstre, ce n’est pas pour le juger, mais pour le comprendre. Il y a fort à parier que son Frankenstein sera une relecture gothique, poétique et profondément mélancolique du mythe. On parle d’un projet passion pour le réalisateur, une œuvre qu’il porte en lui depuis des années.
Une chose est sûre : ce film ne sera pas juste un monstre de plus dans le paysage cinématographique. Ce sera une lettre d’amour aux parias, aux incompris, aux créatures magnifiques tapies dans l’ombre. Et nous, on sera là, au premier rang, prêts à avoir le cœur brisé.