Oubliez Wolverine : Hugh Jackman revient plus sauvage que jamais dans un Robin des Bois déroutant

Deux hommes en costumes médiévaux dans la montagne.

Tu pensais avoir tout vu côté surprises geek ? Accroche ta ceinture, car une tornade inattendue souffle sur l’imaginaire populaire.

Un visage qu’on croyait inclassable revient dans un rôle qui risque d’effacer tout ce que tu croyais savoir, avec ce mélange de panache et de mystère qui ferait pâlir un coffre de pièces d’or.

Reste bien calé, la découverte pourrait bien changer ta vision du héros légendaire… et te coller un sourire étonné !

Un Robin des Bois vieillissant et tourmenté

Dévoilées récemment par Entertainment Weekly, les premières images officielles du film frappent immédiatement. Hugh Jackman y est méconnaissable : longue perruque, barbe blanche, traits fatigués. Il incarne un Robin de Locksley vieillissant, solitaire, usé par les combats et hanté par les crimes qu’il a commis. Blessé et au bord de l’effondrement, ce Robin n’est plus une légende flamboyante, mais un homme brisé qui porte le poids de ses choix.

Autour de lui, le casting intrigue. Jodie Comer, remarquée dans The Bikeriders et 28 ans plus tard, apparaît sur certaines images, mais son rôle reste volontairement secret. Le réalisateur a toutefois confirmé qu’elle n’incarne pas Marianne, laissant planer le mystère. Bill Skarsgård, quant à lui, interprète une version revisitée de Petit Jean, promettant là aussi une lecture inattendue du personnage.

Une version bien différente des adaptations précédentes

À la réalisation et au scénario, on retrouve Michael Sarnoski, déjà salué pour Pig et Sans un bruit : Jour 1. Sa vision de Robin des Bois est sans concession. Pour lui, le héros n’en est pas vraiment un : « C’était un hors-la-loi meurtrier qui a commis beaucoup d’actes terribles, une sorte de monstre », explique-t-il. Robin a simplement vécu assez longtemps pour voir naître le mythe autour de lui, un mythe qu’il ne reconnaît plus.

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Même si tu connais les nombreuses adaptations précédentes, Sarnoski est clair : tu n’as encore jamais vu Robin des Bois comme ça. Le film s’apparente presque à un film de guerre, avec des combats sales, brutaux, loin de toute chorégraphie élégante. Ici, les affrontements se déroulent dans la boue, à coups de pelles, dans une violence crue et réaliste.

Une histoire humaine, lourde de sens et de regrets

Hugh Jackman lui-même semble profondément touché par cette approche. Il confie que ce qui l’a séduit, c’est la puissance du scénario et sa réflexion sur l’usage du pouvoir, qu’il soit bon ou mauvais. Robin des Bois est ici présenté comme un homme réel, avec ses cicatrices, ses douleurs, ses regrets… mais aussi son amour.

Une mystérieuse femme lui offre une possible rédemption, ouvrant la porte à une réflexion intime sur la culpabilité, la mémoire et la rédemption. Selon Jackman, l’histoire est « belle et humaine », portée par un véritable poids émotionnel.

The Death of Robin Hood sortira au cinéma en 2026. En attendant, tu pourras retrouver Hugh Jackman dès le 31 décembre dans Sur un air de blues de Craig Brewer. Une chose est sûre : cette nouvelle incarnation de Robin des Bois risque de marquer durablement les esprits.

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