Par le marteau de Grabthar, Sigourney Weaver réclame un Galaxy Quest director’s cut !

Homme en uniforme dans un cockpit futuriste, triste.

Si, comme nous, tu penses que Galaxy Quest est bien plus qu’une simple parodie de Star Trek, mais une véritable déclaration d’amour à la science-fiction et à ses fans, alors assieds-toi. La grande Sigourney Weaver elle-même vient de jeter un pavé dans la mare thermienne de Sarris, et ça ravive des espoirs qu’on croyait perdus dans l’espace.

Un Galaxy Quest plus sombre et R-rated ? On signe où ?

Dans une interview récente, l’inoubliable Gwen DeMarco a balancé la bombe : elle rêve de voir sortir une version director’s cut de Galaxy Quest. Mais pas n’importe laquelle. La version originale, celle qui était prévue pour être R-rated, bien avant que le studio ne décide de la rendre plus familiale. On parle d’un film plus grinçant, plus satirique, avec un humour potentiellement bien plus tranchant. On ne va pas se mentir, l’idée est jouissive. Imaginer les dialogues cultes avec une touche plus adulte, plus crue ? C’est un grand OUI. Sigourney Weaver a rappelé à quel point cette version initiale, plus fidèle à l’esprit « acteurs sur le retour un peu blasés », lui tenait à cœur.

La suite que nous n’aurons (probablement) jamais

Et là, c’est le petit pincement au cœur. Weaver a aussi évoqué la fameuse suite qui était dans les tuyaux. Une vraie suite, avec une histoire apparemment géniale qui devait réunir tout le casting. Le projet était si avancé qu’il devait même se transformer en série pour Amazon. Malheureusement, le destin en a décidé autrement avec la disparition tragique et bien trop précoce du grand Alan Rickman. Sans leur Dr. Lazarus, l’équipage ne se sentait plus le cœur de repartir en mission, et on les comprend. Le projet a été abandonné, nous laissant orphelins de ce qui aurait pu être une nouvelle aventure culte.

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Alors voilà, entre l’espoir fou de découvrir un jour ce montage Galaxy Quest plus « badass » et la nostalgie triste de cette suite avortée, nos cœurs de geeks balancent. Le message est envoyé à DreamWorks. En attendant, on va se refaire le film pour la millième fois. Never give up, never surrender !

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