Primate: Oublie les dinos, ce chimpanzé est ton nouveau cauchemar
Tu pensais que la nature avait épuisé son stock de créatures prêtes à te faire regretter d’être sorti de chez toi ? C’était sans compter sur Ben, un chimpanzé qui a visiblement décidé que la gentillesse, c’était surfait. Accroche-toi, car le film d’horreur Primate s’annonce comme une tuerie, au sens propre.
Jurassic Chimp
Le concept est aussi simple que génial : une bande de potes part en vacances sur une île qui ressemble à une pub pour du gel douche. Le problème ? L’île est aussi le terrain de jeu de Ben, un chimpanzé qui n’a clairement pas reçu le mémo sur l’hospitalité. Oublie les bananes et les grimaces mignonnes, Ben est plutôt du genre à transformer tes vacances de rêve en un remake de Jurassic Park, mais avec un primate sous stéroïdes à la place des raptors. Les premières images sont formelles : ça va saigner et on risque de ne plus jamais regarder un singe de la même manière.
Le singe tueur, ce bon vieux pote de l’horreur
L’idée du singe qui devient une machine à tuer n’est pas nouvelle, et c’est ça qui est bon. On se souvient tous de la flippe que certains primates ont pu nous coller au cinéma, bien avant Ben. Jordan Peele l’a d’ailleurs brillamment rappelé dans Nope : sous ses airs de lointain cousin se cache une force brute et imprévisible. Primate semble bien parti pour s’inscrire dans cette tradition, en nous rappelant qu’un chimpanzé en colère, c’est autrement plus dangereux qu’un T-Rex avec une rage de dents. Le film est attendu en salles pour le 21 janvier 2026, de quoi te laisser le temps de te préparer psychologiquement.
Futur nanar ou nouveau classique ?
Alors, Ben deviendra-t-il la nouvelle icône de l’horreur qui trônera fièrement sur nos étagères à côté de Freddy et Jason, ou finira-t-il dans le bac des nanars qu’on adore détester ? Le potentiel est là pour un suspense haletant, mais le risque de basculer dans le ridicule est tout aussi grand. Une chose est sûre, que ce soit pour frissonner ou pour rire, Primate a déjà toute notre attention. Après tout, qui refuserait une bonne dose d’humour noir et de carnage simiesque ?