Single Papa sur Netflix en décembre : cette comédie indienne te fera rire, pleurer et peut-être repenser ta façon d’être parent

Homme surpris avec bébé et biberon.

Netflix enrichit son catalogue de fin d’année avec Single Papa, une série indienne annoncée pour le 12 décembre et déjà disponible sur la plateforme.

À travers un récit ancré dans le quotidien, la série aborde la parentalité sous un angle inattendu, en mettant en scène un homme encore en quête de stabilité personnelle.

Entre émotions contradictoires, humour discret et désordre affectif, Single Papa propose une exploration nuancée des liens familiaux au sein d’une grande famille indienne confrontée à un bouleversement majeur.

Une paternité choisie qui bouscule l’équilibre familial

L’histoire suit Gaurav Gehlot, surnommé GG, incarné par Kunal Kemmu. Fraîchement divorcé, cet adulte encore en construction surprend tout son entourage en prenant une décision radicale : adopter un bébé. Ce choix, loin de rassurer sa famille, provoque une véritable onde de choc. GG est perçu comme distrait, peu organisé et parfois immature, ce qui rend son projet parental difficile à accepter pour les membres de la famille Gehlot. La série s’attache alors à montrer comment chacun réagit face à cette situation inattendue et comment les repères familiaux se déplacent progressivement.

À travers ce déséquilibre, Single Papa observe la manière dont une famille se réorganise lorsqu’un événement dépasse les attentes collectives. Les tensions, les incompréhensions et les moments de tendresse s’entremêlent, révélant la complexité des relations familiales lorsque les normes traditionnelles sont mises à l’épreuve.

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Une création portée par une vision humaine et quotidienne

La série est créée et co-produite par Ishita Moitra et Neeraj Udhwani, avec Shashank Khaitan à la production exécutive et à la réalisation, accompagné de Hitesh Kewalya et Neeraj Udhwani. Le projet est développé par Juggernaut Productions, représenté par Aditya Pittie et Samar Khan. L’équipe créative revendique une approche centrée sur l’humain, privilégiant les situations du quotidien plutôt que les grands effets dramatiques.

Shashank Khaitan décrit Single Papa comme une œuvre familiale où l’émotion et l’humour coexistent naturellement. Cette intention se ressent dans la narration, qui accorde une place importante aux petits moments, aux dialogues et aux interactions entre les personnages. Chaque membre de la famille Gehlot contribue à l’évolution de GG, faisant de la série un portrait collectif autant qu’un parcours individuel.

Un casting solide au service d’une parentalité imparfaite

Kunal Kemmu porte la série avec un personnage loin des figures paternelles idéalisées. GG apprend sur le tas, se trompe, doute et recommence, incarnant une parentalité imparfaite mais sincère. L’acteur souligne lui-même que ce rôle reflète la réalité de nombreux parents, faite de maladresses et d’efforts constants.

À ses côtés, Manoj Pahwa, Ayesha Raza et Prajakta Koli apportent une profondeur supplémentaire au récit. Chacun incarne des personnages aux réactions nuancées, oscillant entre soutien, inquiétude et remise en question. Grâce à ce casting et à son regard sensible, Single Papa s’impose comme une série familiale touchante, qui interroge les modèles parentaux contemporains tout en restant accessible et ancrée dans le réel.

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Entre famille indienne dépoussiérée et casting survolté, la série bouscule les codes avec humour et émotion, tout en gardant une tendresse à fleur de peau. Seule limite : certains clichés persistent, mais franchement, c’est vite pardonné.

Alors, prêt à embarquer dans cette odyssée familiale aussi fun qu’improbable ?

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4 commentaires

  1. L’idée d’un papa qui adopte malgré ses maladresses, c’est vraiment rafraîchissant. Ça change des clichés sur la paternité parfaite.

  2. J’aime bien le concept de GG qui adopte un bébé alors qu’il est encore un peu immature. Ça paraît plus réel que les papas parfaits qu’on voit d’habitude.

  3. L’idée d’un père adoptant seul, c’est rare et ça donne envie de voir comment la série montre ses galères et ses réussites.

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