Nintendo Switch 2 : le RPG Skyrim reçoit une mise à jour de la dernière chance… les joueurs éclatent de rire

Guerriers en armure dans un paysage désertique.

T’es déjà tombé sur une promesse trop belle pour être vraie, du style « cette fois-ci, tout va changer » ?

Attends-toi à de sacrés rebondissements dans cette histoire où la déception joue à cache-cache avec l’espoir.

Accroche-toi, tu risques de te reconnaître (ou de rire jaune) dans ce feuilleton aussi imprévisible qu’un lancer de dés entre potes un soir d’orage. Prêt à lever le rideau ?

Un patch pour sauver les meubles ?

Un patch pour sauver les meubles ? Eh bien, presque. Cette mise à jour sur Switch 2 promettait d’allumer les projecteurs sur Skyrim, mais reste coincée en backstage niveau performance. Au programme, un input lag peaufiné (enfin !), mais toujours pas de miracle pour le framerate, resté à 30 fps. La stabilité ? Un rêve encore inaccessible pour les joueurs espérant un effet Phoenix et finissant avec un pigeon enrhumé en main.

Résultat : les fans restent plantés là, à attendre la résurrection d’un classique, frustrés face à des plantages aussi fiables qu’un lundi matin. Le patch semble resté bloqué au stade de la bonne intention, style quête buggée dont on ne peut se défaire. Est-ce le sauvetage de 2024 ? Pas vraiment. Allez, courage, le mystère continue, qui sait quand la lumière jaillira ?

Cavalier médiéval sur cheval armuré, paysage montagneux.

La réaction des joueurs : sarcasme et désillusion

Les joueurs, eux, ont plutôt sorti leurs meilleures punchlines qu’un Cracker Jack. Sur les réseaux, les commentaires pleuvent comme des flèches elfiques ensorcelées, avec une avalanche de memes plus drôles qu’une danse de Draugr. Ce patch, promis pour être révolutionnaire, est accueilli comme un gag trouvé au fond d’une boîte de céréales périmées : l’espoir d’un 60fps majestueux se mue en chimère, laissant les fans perplexes face à ce jeu incorrigible.

Pour ceux qui espéraient enfin une optimisation digne de ce nom, la déception s’invite à la table, dignement vêtue d’un t-shirt « 2011, et pourtant si loin ». Certains en viennent même à se demander si Skyrim aime jouer de leurs nerfs plus qu’ils n’aiment jouer à Skyrim. Les amoureux du pixel devront encore patienter. Que la saga continue, sans spoilers !

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Skyrim Switch 2 : un cas d’école pour Bethesda

« Skyrim Switch 2 » devient le cas d’école parfait pour Bethesda. Plutôt qu’un succès éclatant, l’édition Anniversary a malheureusement renforcé la réputation de la boîte comme roi incontesté du bug. Le jeu, plus cabossé qu’un vieux chaudron, a érodé la confiance des joueurs, transformant la fête en banquet de désillusions.

Pour toi, l’astuce est simple : avant de sortir ton portefeuille, méfie-toi des promesses étincelantes qui cachent de simples étoiles filantes. Pendant que Bethesda continue à colmater à coups de rustines numériques, mieux vaut attendre de voir si cette fois, ils prennent vraiment le taureau par les cornes. Voilà une leçon à méditer pour tes futures aventures !

En résumé : ce patch promettait monts et merveilles, mais laisse les joueurs sur leur faim entre bugs coriaces et optimisation paresseuse. Bethesda tente, certes, mais la lumière au bout du donjon reste timide.

Alors, prêt à replonger ou tu préfères attendre la vraie métamorphose ?

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