Star Wars a retrouvé la Force ? Ryan Gosling en pilote pour sauver la saga

Accroche-toi à ton casque de pilote X-Wing, parce que la nouvelle qui vient de tomber pourrait bien te faire passer du côté lumineux de la Force à nouveau. Oui, on parle de Star Wars. Et oui, on sait que ton petit cœur de fan a saigné devant la dernière trilogie. Mais attends un peu avant de ranger ton sabre laser au grenier. Disney semble avoir entendu nos prières (ou nos menaces, c’est selon) et prépare un film qui pourrait bien tout changer, avec un certain Ryan Gosling aux commandes.

Le projet, au nom de code qui claque bien, « Starfighter », serait donc le prochain gros morceau de la saga sur grand écran. Et pour piloter ce vaisseau, on retrouve Shawn Levy, le monsieur derrière Free Guy et The Adam Project. Un réalisateur qui sait manier la pop culture et l’action avec un certain talent, ce qui est déjà plus rassurant que de confier les clés du Faucon Millenium à un droïde protocolaire un peu paumé.

Mais la vraie bombe, c’est le nom qui circule pour le rôle principal : Ryan Gosling. Oui, Ken lui-même. L’acteur, qui a prouvé qu’il pouvait tout jouer, du pilote taciturne dans Drive au benêt cosmique dans Barbie, serait en lice pour enfiler le costume du héros. On l’imagine déjà, un blaster à la hanche, un sourire en coin, prêt à nous faire oublier les errances scénaristiques passées. Sa « Kenergy » pourrait-elle se transformer en « Force-nergy » ? On a envie d’y croire.

L’histoire se déroulerait après « L’Ascension de Skywalker ». Un choix malin qui permet de ne pas effacer (malheureusement ?) la postlogie, mais de construire dessus, ou plutôt, à côté. L’idée est d’explorer de nouveaux coins de la galaxie, de rencontrer de nouveaux personnages, bref, de faire ce que Star Wars aurait toujours dû faire : nous faire rêver avec de l’inédit, plutôt que de recycler en boucle les mêmes trois planètes et les mêmes lignées familiales. Pour nous, vieux rôlistes, l’idée de nouveaux scénarios et de nouveaux enjeux, ça fait frétiller les dés à vingt faces.

Alors, on s’emballe ? Un peu, mon neveu. Entre un réalisateur qui a fait ses preuves et une star au sommet de sa popularité, ce « Starfighter » a tout du projet de la dernière chance qui pourrait bien réussir son coup. On reste prudents, évidemment. On a été échaudés plus d’une fois. Mais pour la première fois depuis longtemps, on sent une petite étincelle d’espoir. Et dans une galaxie lointaine, très lointaine, l’espoir, c’est déjà pas mal.