Dust Bunny: le premier film du créateur de Hannibal s’annonce complètement fou

Prépare-toi à être secoué. Bryan Fuller, le génie maudit à qui l’on doit des séries cultissimes comme Pushing Daisies et surtout, le chef-d’œuvre esthétique et sanglant qu’est Hannibal, passe enfin au cinéma. Et pour son premier long-métrage, il ne fait pas les choses à moitié. Son nom : Dust Bunny. Au casting ? Son acteur fétiche, le charismatique Mads Mikkelsen, et l’icône absolue Sigourney Weaver. Autant te dire que la hype est à son maximum.

Un conte de fées horrifique qui divise déjà

Le pitch de Dust Bunny a tout pour plaire aux grands enfants que nous sommes. Imagine une gamine persuadée qu’un monstre a dévoré ses parents. Pour l’aider, elle fait appel à son voisin, un tueur à gages un peu spécial incarné par Mads Mikkelsen. Le voilà donc parti à la chasse au monstre sous le lit, dans un univers qui promet d’être aussi terrifiant que merveilleux. La bande-annonce a déjà mis tout le monde d’accord : visuellement, c’est une folie, avec une Sigourney Weaver qui sort des flingues de ses talons aiguilles. Oui, tu as bien lu.

Les premières critiques américaines sont tombées, et comme on pouvait s’y attendre avec Fuller, ça ne fait pas dans la demi-mesure. Le film est décrit comme :

• Un hommage vibrant et déjanté aux films d’aventure familiaux des années 80, mais avec une bonne dose de noirceur.
• Un spectacle visuel époustouflant, qui jongle entre horreur, humour et drame familial.
• Une œuvre à l’alchimie évidente entre Mads Mikkelsen, dans un rôle étonnamment tendre, et la jeune actrice Sophie Sloane.

Mais attention, cette proposition radicale ne plaira pas à tout le monde. Certains critiques parlent d’un film si barré qu’il peut laisser sur le carreau, un assemblage d’idées qui ne fonctionnent pas toujours ensemble. En gros, soit on adore, soit on déteste. C’est la marque des grandes œuvres, non ?

Malheureusement pour nous, pauvres mortels francophones, si Dust Bunny est sorti aux États-Unis, aucune date de sortie française n’a encore été annoncée. Il ne nous reste plus qu’à croiser les doigts très fort en espérant que ce lapin de poussière monstrueux traverse l’Atlantique au plus vite.