Mistborn: Le chef-d’œuvre de la fantasy que tu ne verras jamais sur Netflix
T’en as pas marre des adaptations foireuses de tes bouquins préférés ? On a tous ce pote qui hurle au scandale devant une série ou un film. Mais imagine un truc encore plus fou : une saga absolument géniale, un pilier de la fantasy moderne, que personne n’ose adapter. Bienvenue dans le cas étrange de Mistborn.
Mistborn, c’est quoi ce délire ?
Oublie les elfes et les nains cinq minutes. Imagine un monde post-apo-médiéval crasseux, gouverné par un tyran immortel. Une bande de voleurs décide de monter le casse du siècle : renverser l’Empire. Leur arme secrète ? Vin, une gamine des rues qui découvre qu’elle peut ‘brûler’ des métaux dans son estomac pour obtenir des super-pouvoirs. C’est ce qu’on appelle l’Allomancie, et c’est juste une des magies les plus stylées jamais écrites. Action, complots, une ‘found family’ à la Gardiens de la Galaxie… la recette est parfaite.
Le projet maudit que Hollywood n’aura pas
Avec un pitch pareil, tu te dis que les producteurs ont déjà signé les chèques, non ? Eh bien, non. Un projet de film a bien existé, mais il a fait ‘pschitt’. Officiellement, c’est à cause de ‘divergences artistiques’. En clair, le projet ne respectait pas l’œuvre, et l’auteur, Brandon Sanderson, a poliment repris ses billes. Et franchement, on le remercie.
Brandon Sanderson, le gardien du temple
Le truc, c’est que Sanderson n’est pas du genre à brader son univers pour un gros chèque. Le monsieur a une vision. Il a même balancé à un journaliste que ‘Le streaming n’a pas encore compris comment gérer l’epic fantasy’. Et quand tu vois certaines productions récentes, difficile de lui donner tort. Il a refusé plusieurs offres, préférant attendre la bonne équipe, le bon projet. Sa priorité, c’est de protéger l’intégrité de son monde, le Cosmere, un univers partagé qui connecte la plupart de ses romans. Un vrai patron.
Alors, est-ce qu’on verra un jour Vin et sa bande sur nos écrans ? Peut-être. Mais en attendant, le vrai trésor est sur nos étagères ou dans nos liseuses. Découvrir Mistborn par les livres, c’est l’assurance d’une expérience authentique, sans compromis. C’est peut-être ça, la meilleure façon d’explorer cet univers : à travers les mots de celui qui l’a créé, sans filtre hollywoodien. Et ça, ça n’a pas de prix.
J’aime trop l’idée que Brandon refuse les projets qui trahissent son univers, ça montre qu’il tient vraiment à son oeuvre, pas juste l’argent.
Carrément, c’est rare de voir un auteur autant attaché à son univers, ça force le respect!
J’suis d’accord mais parfois le compromis peut aussi apporter du neuf sans trahir l’univers.
J’ai jamais capté que l’auteur voulait à ce point garder le contrôle, ça change tout sur l’adaptation Netflix…
Carrément, comme avec les scènes coupées où il voulait garder l’essence des livres
Carrément, comme Brandon qui a refusé plusieurs scripts parce que ça dénaturait trop son univers
C’est clair que ce truc d’Allomancie, ça déchire tout, je connaissais pas ce concept ! L’idée de bruler des métaux pour gagner des pouvoirs, trop stylé.
Grave, et en plus chaque métal donne un pouvoir trop différent, ça rend l’histoire hyper riche !
La phrase sur le streaming qui n’a pas capté l’epic fantasy, c’est tellement vrai… Ça manque souvent de souffle
Le coup des divergences artistiques, ça explique pourquoi Hollywood foire souvent ces adaptations… Dommage, j’aurais adoré voir l’allomancie à l’écran.
Grave, l’allomancie mériterait vraiment une vraie scène épique à l’écran !
Le passage sur la fidélité de Sanderson à son univers m’a bluffé. Pas souvent qu’un auteur refuse à cause de divergences artistiques. Ça donne vraiment envie de lire Mistborn dans sa version originale.
J’ai kiffé le concept de l’Allomancie, ça change vraiment des magies classiques. Dommage que ça pète pas encore sur écran, ça aurait de la gueule !