P. Diddy explose contre Netflix après la sortie du doc choc sur lui : “c’est une honte absolue”

Tu t’es déjà demandé ce qui se passe quand la tension grimpe à Hollywood, avec des dossiers explosifs, des stars qui s’emportent et des plateformes qui ajoutent de l’huile sur le feu ?

Accroche-toi, car ici, le spectacle promet d’être aussi imprévisible qu’un reboot de série culte.

Entre révélations croustillantes et joutes piquantes, tu risques de te demander où est la frontière entre la fiction et la réalité… Envie de savoir qui finira par brûler ses doigts ?

Un documentaire choc sur la chute d’un empire

Mis en ligne le 2 décembre, Sean Combs : l’heure des comptes ambitionne d’offrir une « exploration sans précédent » de la vie et de la carrière de P. Diddy, autrefois figure incontournable du hip-hop et des médias. Initié et produit par 50 Cent, le projet a nécessité deux ans de travail et se présente comme un regard sans filtre sur un homme aujourd’hui condamné et contesté.

En octobre 2025, P. Diddy a été condamné à quatre ans de prison pour transport de personnes à des fins de prostitution. Actuellement détenu à la prison fédérale de Fort Dix, il reste au cœur de multiples poursuites civiles pour agressions sexuelles. Le documentaire revient sur ces affaires, mais aussi sur la personnalité complexe d’un artiste qui a longtemps façonné la culture populaire avant de sombrer dans les scandales.

La riposte de P. Diddy : accusations de vol d’images et de manipulation

Depuis sa cellule, Sean Combs n’a pas tardé à exprimer sa colère. Par la voix de son avocat, il qualifie le documentaire de « honteux », accusant Netflix d’avoir utilisé des images « volées » et diffusées sans autorisation. Selon cette déclaration, la plateforme aurait cherché à « sensationnaliser chaque instant de la vie de M. Combs » dans le seul but de profiter d’une « frénésie médiatique sans fin ».

L’avocat s’en prend également directement à Curtis Jackson, alias 50 Cent, producteur du documentaire et rival de longue date de P. Diddy. Il dénonce une « vendetta » entretenue depuis des années par l’artiste, qui aurait selon lui influencé la tonalité du projet. La bande-annonce renforce cette impression de tension, notamment avec un extrait audio où P. Diddy, quelques jours avant son arrestation, évoque la nécessité de trouver quelqu’un prêt à “se salir les mains”.

Netflix contre-attaque et défend la légitimité du documentaire

Face à ces accusations, Netflix a rapidement réagi en apportant des clarifications. La plateforme cite les propos de la réalisatrice Alexandria Stapleton, qui a affirmé le 26 novembre que toutes les images présentes dans le documentaire avaient été obtenues « légalement » et que l’équipe possédait « les droits nécessaires ». Elle précise également que Sean Combs se filme “constamment” depuis des décennies, ce qui a facilité la constitution d’archives audiovisuelles.

La réalisatrice ajoute que l’équipe du documentaire a tenté à plusieurs reprises de solliciter une interview ou un commentaire de la part de l’équipe juridique de P. Diddy, sans jamais recevoir de réponse. Une manière, selon elle, de démontrer la transparence de leur démarche et de contrer les accusations de partialité ou de manipulation.