Film Anaconda : cette comédie d’aventure avec Jack Black et Paul Rudd va te faire rire plus fort que ton oncle bourré à Noël

Deux hommes effrayés par un serpent géant.

Tu t’es déjà retrouvé face à un duo tellement inattendu que ça en devient fascinant ? Prépare-toi, tu risques de sourire plus d’une fois.

Et si l’année 2025 se terminait sur une note d’humour, de camaraderie et de chaos joyeux ? C’est exactement ce que propose Anaconda, en salles le 31 décembre, une comédie d’aventure familiale aussi absurde que généreuse.

Porté par un duo inédit et très attendu, Jack Black et Paul Rudd, le film revisite le mythe du prédateur amazonien à travers un prisme totalement inattendu : celui d’un tournage bricolé, improvisé et constamment au bord du naufrage. Résultat : une aventure hilarante, où chaque bonne intention se transforme en catastrophe délicieusement jubilatoire.

Jack Black et Paul Rudd, un duo explosif au cœur de la jungle

Pour la première fois réunis en tête d’affiche, Jack Black et Paul Rudd incarnent deux amis de toujours confrontés à une crise existentielle bien connue : et si c’était le moment de réaliser enfin leurs rêves d’adolescents ? Leur idée folle : tourner à leur manière le remake d’Anaconda, le prédateur. Un projet estimé à 2,5 millions de dollars, mais financé avec… 9 400 dollars en poche.

Armés d’un enthousiasme débordant et d’un sérieux manque de préparation, ils embarquent une petite équipe dans la forêt amazonienne pour donner vie à leur film. Très vite, leur alchimie naturelle fait mouche à l’écran. Entre autodérision, maladresse assumée et complicité sincère, le duo offre une performance à la fois explosive et touchante, donnant au film son énergie communicative.

A lire aussi  Trois ans après sa sortie, ce film violent fait son grand retour sur Netflix avec une suite redoutable

Un tournage improvisé qui vire au fiasco total

Ce qui devait être un simple tournage entre amis se transforme rapidement en chantier chaotique. Sans plan précis ni réelle expérience, l’équipe doit affronter une jungle hostile, des drones capricieux, des scènes improvisées qui dérapent et des conflits d’ego de plus en plus fréquents. Le point de non-retour ? Leur premier serpent… qui meurt en plein tournage.

Contraints de sauver leur film coûte que coûte, ils se lancent alors à la recherche d’un nouvel anaconda, bricolant solutions et idées dans un environnement qui leur échappe totalement. Chaque obstacle devient prétexte à une nouvelle situation absurde, et le tournage prend des allures de survie permanente. Mais c’est précisément dans ce chaos que le film trouve sa force comique, transformant chaque galère en moment savoureux.

Une aventure humaine qui détourne les codes du blockbuster

Sous la caméra de Tom Gormican, Anaconda s’amuse à détourner les codes du blockbuster d’aventure pour mieux les parodier. Si la créature mythique est bien présente, elle n’est jamais le véritable centre de l’intrigue. Le film choisit plutôt de raconter une histoire d’amitié, de passion et de persévérance, portée par des personnages incapables de renoncer à leurs rêves.

Le suspense ne naît pas tant du danger que représente le serpent, mais des gaffes incessantes et de l’obstination maladroite des héros. Finalement, Anaconda n’est pas qu’un film de prédateur : c’est une aventure humaine généreuse, emballée dans un tourbillon de situations cocasses. Une comédie idéale pour un réveillon placé sous le signe du rire et de la bonne humeur.

A lire aussi  Si vous aimez les histoires de braquage à suspense et l’esprit des fêtes, ne manquez pas ce film de Noël qui arrive sur Netflix

En résumé : Jack Black et Paul Rudd réinventent le buddy movie en transformant chaque galère en spectacle hilarant et humain, même si quelques clichés du genre persistent forcément. La jungle devient un terrain de jeu où la débrouille et la bonne humeur prennent le dessus.

Alors, prêt à embarquer pour un grand délire exotique avec eux ?

Vous aimerez aussi

2 commentaires

  1. Le financement à 9 400 dollars, c’est ouf, ça montre bien que le délire c’est plus sur l’humour que les moyens

Répondre à Jean-Baptiste L. Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *