Coco King : le coup de cœur de Petrococore

Coco King est l’un des meilleurs jeux auxquels j’ai pu jouer, c’est du pur DÉLIRE !

bandeau17Ce jeu est génial, c’est mon coup de cœur de la DÉCENNIE, y a juste pas à argumenter. Un  must-have. 

Quoi ? Il faut que je développe, en plus ? Ça ne vous suffit pas ce bel enthousiasme ? Bon et bien c’est parti pour la chronique détaillées de Coco King alors.

 

CATAPUUUULTE !

Avant de vous parler du but du jeu de Coco King, penchons nous un peu sur le matériel, voulez-vous ?

Coco kingDes singes. Des noix de coco. Des paniers. Le bonheur quoi.

Pour ceux qui ne l’auraient pas deviné, le but du jeu est de mettre vos noix (pas celles-ci, malheureux ! Les autres, dans la boîte de jeu !) dans les paniers de couleurs situés au centre du plateau. Pour ce faire, vous devrez vous aider de ces macaques souriants aux bras-catapultes. A vous donc de savamment doser la puissance de cette artillerie simiesque pour vous approprier un maximum de paniers et les placer devant vous. Lorsque vous avez réussi à construire une pyramide de six paniers, bravo, c’est gagné ! Vous pouvez taper sur vos pecs (ou sur vos meules) pour célébrer votre victoire et ainsi établir votre dominance sur le reste de la tribu, c’est à dire les perdants.

so hardcore

Si personne n’a réussi à construire la fameuse pyramide de six, on se contentera de compter les noix de coco dans nos paniers. Celui qui en a le plus a gagné, mais la victoire est moins éclatante.

Attention, ne vous croyez pas hors d’atteinte parce que vous devancez vos adversaires ! Dans Coco King, vous incarnez des singes, et tout le monde sait que ces animaux sont d’incorrigibles voleurs. Il est donc tout à fait possible de piquer les paniers des autres en leur envoyant dedans une bonne noix de coco bien placée. De même, le jeu contient des cartes bonus/malus qui peuvent mettre des bâtons dans les roues d’un participant trop récalcitrant. On notera aussi la possibilité de shooter deux fois de suite en parvenant à atteindre un panier rouge. Et voilà, vous savez tout.

C’est pas un jeu à la noix ! (Ouais je sais, c’est loin d’être mon meilleur jeu de mots mais bon, vous ferez avec)

Il ne faut en général qu’un ou deux lancers de noix de coco pour que le charme opère : ce qui était votre salon va devenir très vite un foutoir monstrueux, où les éclats de rire masqueront sans mal les râleries de tonton Jeannot parti récupérer cette p%*@# de noix qui est encore allée se foutre sous la commode. Les projectiles fusent, les paniers s’échangent, on se marre, on se moque (toujours dans le respect de la personne, nous sommes entre gens de bonne compagnie) et on ne se lasse pas.

boîteLa boîte de ce jeu PARFAIT

Bien que moins enthousiastes que moi, Graour et Lazylumps ont eux aussi beaucoup apprécié le jeu. Il n’est pas à ranger dans la catégorie des jeux réfléchis et certainement pas dans la catégorie des jeux relous (et ouais je dénonce, je suis un déglingo). Plutôt dans celle des jeux frénétiques, à sortir quand on a pas envie de se triturer la tête ou quand on a juste besoin d’un bon gros concept débile pour balancer des trucs dans tous les coins de la pièce en rigolant comme des teubés.

Note quand même : si Coco King est très largement abordable par un enfant (à partir de 6 et +, si on suit les indications sur la boîte), les moins mali… observateurs d’entre eux pourraient vite avoir envie de gober ces petites noix de coco, ressemblant à s’y méprendre à des maltesers autant au niveau de la forme que de la couleur et de la texture. Mais pas du goût par contre, oui on a testé. Prudence donc, car appeler le SAMU au beau milieu d’une partie a tendance à un peu casser le rythme du jeu.

bandeau17(Le vrai cette fois) 

Que dire de plus ? Vous aurez aisément compris que j’adore ce jeu, pour sa simplicité, son efficacité, et la grosse dose de fun qu’il procure. La chronique est certes courte mais je ne vois pas quoi ajouter : même la règle du jeu fait à peine trois pages ! Donc voilà, je ne peux que recommander Coco King à ceux qui recherchent un bon truc bien délire et pas prise de chou. En tant que défouloir, c’est juste GÉNIAL !

NOTE : Le jeu est originellement édité par une boîte coréenne, Korea Boardgames. C’est assez atypique pour être souligné. Il est arrivé dans nos contrées via l’éditeur Gigamic.

Petrocore

Tout comme Narfi, Petrocore est issu de la sous-espèce des Trolls du Périgord (d'où son nom). Il se nourrit de tout ce qui passe à sa portée du moment que ça a été cuit dans de la graisse d'oie, voire de canard. Parce qu'il aime le gras, Petrocore est surtout versé dans la musique métal brutale et toutes sortes de produits faisant preuve d'un bourrinisme sans failles ou d'un humour pas fin.

Lâche ton cri

  • 8 novembre 2016 at 8 h 02 min
    Permalink

    Tu ferais de moi le plus heureux des hommes !

  • 7 novembre 2016 at 16 h 13 min
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    J’ai quasiment pleuré de bonheur en lisant cet article. Merci de raviver de doux souvenirs d’enfance. On monte une guilde?

  • 9 avril 2016 at 18 h 43 min
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    Je vois que tu as fini par être touché par la grâce de ce jeu

  • 9 avril 2016 at 10 h 24 min
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    « Sans Coco King, la vie serait une erreur »

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